L’autre caporal s’approche de moi en retournant son fusil pour s’en servir de massue. Je suis nu, j’ai passé quinze jours dans la cage, et Fitz a coupé la moitié des fils de mon bras cybernétique avant de m’enfermer. Je suis tellement assoiffé que je pourrais boire le sang de cet homme s’il s’approchait assez près…
Il croit qu’il peut m’avoir.
Je souris.
Et ça suffit à le faire hésiter.