IRIS : Même si je reconnais qu’il était plutôt divertissant, les pitreries de Monsieur Rucker étaient un peu… immatures. Contrairement à mon employeur, un homme fin aux goûts raffinés qui n’en attend pas moins de moi. Généreux, il veille à ce que je sois constamment approvisionnée en parfums et lotions les plus luxueux qui soient et en robes de soie chinoise rarissime, tissées à la main. Tout cela, il me l’a donné et je m’immerge dedans car je suis au service de son plaisir… mental… physique… et spirituel.