« Le jour de la compétition se rapproche inexorablement, et ce n’est pas l’excitation qui habite le débutant. C’est la peur, non pas de la bataille à mener, mais la peur de perdre la face, de ne pas réussir à encaisser le stress malgré les interminables mois d’entraînement ; la peur de décevoir ses coéquipiers, ses amis, sa famille et ne ne pas être à la hauteur de la Boat Race… »
Daniel Toposki, Boat Race : The Oxford Revival
(Albin Michel, p. 274 )