L’histoire de ses chagrins et de son bonheur si triste se terminait par cet aveu :
« J’ai bien combattu, mais je n’ai pu vaincre ces deux puissances rivales. Deux amours de nature différente se sont, malgré moi, partagé mon cœur : à l’un je n’ai pu résister, à l’autre je ne puis survivre ! »