De quelle honte parle-t-il ? Celle de s’abaisser à recevoir ? La générosité est-elle le privilège des riches ? Qui a le droit de donner ? Je reste dans mon coin à me poser ces questions, frappé des leçons inattendues qu’offre le quotidien.
Deux jours plus tard, en écrivant ces mots aujourd’hui, c’est une autre dimension qui m’apparaît soudainement : le don n’est pas un geste du cœur, c’est l’affirmation d’une dignité.
Scène de comptoir - Timothée de Fontbelle