Je sais que c’est banal et que ça arrive à plein de filles un peu gourdes, comme moi… Mais quand on s’est connus, Giordano et moi, j’avais seize ans et lui dix-neuf… C’était un dur, bien sûr, mais au fond, il n’était pas mauvais. C’était surtout un genre qu’il se donnait… Et il avait une moto.
(page 12)