Les fileuses d’étoupe (IV)
extrait 3
Cortèges sauvages des chemins
Qu’un azur plus mouvant ferait s’évanouir
Sur les routes, les chevaux aux crinières célestes
S’agenouillent sur les marches des calvaires
Avec les cris des râles sur les tertres
A ras des flots
Avec les cris des chiens d’Arawn aux oreilles rouges
Quand nous longeons les vagues
Où croissent les améthystes
…
1974-1975