La plupart des groupes (soit près de 90%) aspirant à former des écovillages ou des communautés intentionnelles ne prennent jamais leur envol ; la communauté dont ils rêvent ne se matérialise jamais. Ils ne trouvent pas le terrain, ils n’ont pas l’argent ou ils s’enlisent dans les conflits. Souvent, ils n’ont tout simplement pas pris la mesure de la somme de temps, d’argent et de compétences organisationnelles requises pour mener à bien un projet d’une telle envergure.