Car le camarade Staline était paranoïaque. Il avait peur de la mort. Même dans les couloirs du Kremlin, il ne marchait que précédé et suivi d’un essaim de gardes du corps. Lors de ses déplacements privés, trois voitures, dont deux leurres, prenaient la route. Seuls ses fidèles cuisiniers avaient accès à ses plats et les bouteilles n’arrivaient que bouchées sur sa table.