Sans scrupules, César voit surtout dans ses contemporains des êtres qui lui permettent d’accéder à son but ultime : le pouvoir absolu. Il veut laisser son nom dans l’Histoire et va construire son grand destin patiemment, étape par étape. Son goût pour le libertinage le conduit à séduire indifféremment femmes et hommes. Il se flatte d’avoir été poursuivi par l’une de ses maîtresses, plus tenace que les autres, jusque dans l’enceinte du Sénat où elle lui a fait parvenir une lettre enflammée. En guise de provocation, il fait lire ladite missive au frère de la jeune femme.