La carrière de César découle d’une formidable volonté de puissance. Il se joue des obligations contraignantes de la politique, ne se laisse jamais influencer par les exploits passés, n’accorde aucun crédit à la tradition. Dans sa politique, tout est pragmatisme, rien n’existe que le présent. César inaugure ainsi la série des chefs d’État modernes, il aime dominer et semble être né souverain.