… ma mémoire était pleine d’horreur, — horreur d’autant plus horrible qu’elle était plus vague, — d’une terreur que son ambiguïté rendait plus terrible. C’était comme une page effrayante du registre de mon existence, écrite toute entière avec des souvenirs obscurs, hideux et inintelligibles.
(Bérénice, Folio SF, p.179)