Admettre qu'il y a 20% de personnes âgées déprimées dans les "longs séjours" ne doit pas seulement permettre de dégager de nouveaux marchés pour les antidépresseurs ; elle doit inciter à analyser leurs circonstances d'arrivée et leurs conditions de vie dans ces "longs séjours", plutôt qu'à leur prescrire un antidépresseur jusqu'à leur mort.