Pourtant, on a beau faire taire les souvenirs, ils laissent un vide que rien ne peut combler. Un vide trompeur, qui brûle. Un voile noir qui, visiblement, n’attend qu’un signe pour se déchirer et révéler ce qui n’a pas bougé, reste intact, identique, en ce lieu que la volonté n’atteint jamais, où elle est impuissante.