"La note vibra au centre de ma poitrine, s'enracinant, croisant, m'asphyxiant presque. Au moment où je pensais que je ne pourrais en supporter davantage, la fleur s'ouvrit en une mélodie de pétales improvisés, de notes veloutées, qui commencèrent à voltiger autour de moi, jaunes, rouges, violettes, me caressant la peau, dedans et dehors.
La salle disparut peu à peu, remplacée par un jardin, il pleuvait des pétales, le parfum. C'était ce que je craignais. Inévitable. Le son de nos propres coeurs"