L'oeil du cyclone. J'y étais, j'y étais vraiment. J'ai souri, soulagé. Ça ne pourrait jamais être pire. Mais on ne reste pas dans l'oeil, ce n'est qu'un moment transitoire, une paix trompeuse. J'attendais l'explosion. Il m'a fallu de longues secondes pour réaliser que le bruit et la fureur, la rage et les cris, il me revenait de les déclencher.