Lorsque tu fais le bilan, durant des heures de solitude, tu comprends très bien que tu n’as jamais rencontré personne, que les amours et les amitiés ne sont même pas des illusions, que tu n’as jamais été que toi-même, seul, maladivement seul, condamné et malheureux.
(extrait de « Il n’y a personne », article, 1943)