Le péché n'est pas d'être triste mais d'aimer la tristesse. Je l'ai cultivée par tous les moyens, à vrai dire par besoin et nullement par coquetterie. J'ai aimé les rengaines espagnoles, hongroises, argentines, j'ai aimé la tristesse sous toutes ses formes, à toutes les latitudes, à tous les niveaux, du plus bas au plus élevé.