Il se passe la même chose avec les mouvements de rébellion actuels.
Que se soit un ouvrier qui arrache la chemise du responsable qui est en train de ruiner sa vie,
un manifestant qui brûle une voiture de luxe,
ou un quartier qui s'embrase la énième fois qu'un proche meurt sous les balles de la police ...
C'est toujours la violence des opprimé-e-s qui est montrée du doigt.
Du coup, je me demande ... quel niveau d'humiliation, quel niveau de violence "légale" subie devra-t-on atteindre, pour qu'on nous estime légitimes à réagir en dehors du cadre que nos oppresseurs ont défini pour nous ?