Mick n’avait qu’un seul défaut : y résider en toutes saisons, quand certains voisins ne passaient qu’une quinzaine sur place. Préoccupés, pendant leur villégiature, par le sort de la nature à Saint-Moritz, Aspen, Saint-Tropez, Davos ou Monte-Carlo, ils foutaient la paix aux troupes, logées et nourries à longueur d’année.