Ce que l'on exige aujourd'hui des musulmans ne fut jamais obtenu des catholiques, malgré plus de cent ans de conflits violents, incluant les 200 000 morts de la guerre de Vendée.
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Le musulman, pour être reconnu comme un bon français, doit ainsi admettre que blasphémer sur sa propre religion est une bonne chose. Ce qui revient à lui demander, en vérité, de cesser d'être musulman. Des idéologues à grands tirages évoquent la déportation comme une solution.