Par contre, le léopard avait dès lors estimé que si Philémon était perturbé et que ses émotions prenaient le dessus, ses réactions n’étaient plus fiables et qu’il avait le droit – voire le devoir – de s’imposer et même de garder le contrôle, autant qu’il le jugeait utile. Il profitait donc des failles émotionnelles pour réagir comme il l’entendait, ce qui avait obligé Philémon à une autodiscipline stricte pour limiter ses interventions malvenues.
Et voilà qu’aujourd’hui, le léopard décidait qu’il voulait Mathieu