À vrai dire, a-t-elle avoué, elle ressentait même un léger abandon, comme tous ces protons de l’accélérateur de particules du CERN à Genève qui continuèrent de faire les malins et d’accélérer comme des fous devant la communauté scientifique, alors que plus personne ne les regardait, car tout le monde s’était mis à scruter le moindre signe d’apparition du boson de Higgs.