Erhan Horata

Le Calomniateur cabotin se nommant Bonaparte le boiteux 1er du nom



Très cher les républicains

Il y a une flamme

Entre nos deux âmes

Et voilà votre rêve

Mais dans quel journal

C’est dans ce fameux figaro où apparait cet article

Il parle d’un homme

Qui est dans la république

Qui a taché da sa puanteur le costume de président

Accusé devant la justice

De manière affligeante

Devant toute la pauvre France

Surnommé l’affaire de la blonde

Personne ne se rend compte

De toute ses magouilles et mensonges

La justice a boite de vitesse automatique

Il n’a laissé aucune preuve

C’est comme ce fameux casse-toi pauvre con

Je suis président tu n’emploies pas ce ton

Au-dessus de moi il n’y a que Satan

Tu ne peux rien faire

C’est moi qui dirige et ordonne

Le chômage et le déficit avec cette dette

On dira toujours que c’est la faute des autres

Des ennemis de social-démocrate

Qu’ils ne sachent rien faire de leur tète

Et tout est de leur faute

Normal leur tête est vide

Tous les problèmes de la France

C’est noir et arabe qui insulte les blancs de raciste

Qui font la chasse à l’homme au riche

Qui mette en place des grève

Qui provoque l’immobilisme de la France

Qui sont des assistés

Ne vivent que par les aides sociales

Et ne savent pas travailler

Hé ben le système les aide à travailler

En leur donnant des diplômes

Dans des écoles en zone favorisé

Mais ils refusent de suivre la règle

Augmente la criminalité au fur à mesure des années

Passe leur temps à tourniquer et à se droguer

Le sauveur arrive

Ne vous inquiété pas le principe est simple

Bonaparte le boiteux

Va améliorer le système

Mais comme l’enfer est pavé de pieuse intention

Le système sera dans l’intérêt de certaine personne

Pour que les riches deviennent plus riche

Et les pauvres plus pauvres

Que des sdf femme avec bébé dans les rues soit banalisé

Pour qu’on ne construise plus d’école mais plus de psychiatrie

Hélas ! moi le premier j’ai subi le système

Il m’a obligé à vendre mon âme

Et je suis devenu schizophrène

A cause de mes paroles sataniques

Prétexte pour me permettre d’avoir l’argent

Pour payés ma scolarité

Dans de prestigieuse école

Et finalement rentrer dans le moule du système

Je refuse d’être votre esclave

Que vous décidiez de ma vie à ma place

Je suis le poète rescapé face à la tempête

J’ai survécu à l’élément de la nature

Personne ne peut m’arrête

Vous avez déjà utilisé l’exil

Vous vous en êtes bruler l’âme

Ils vous restent quoi comme arme

Peut-être la prison

Oui bien pour que j’écrive encore plus

Quelle forme de tristesse

Ce petit Bonaparte boiteux

Tu es obligé de prendre des planches

Par le complexe de ta petite taille

Pour faire des photos face à la grandeur d’autre qui dirige

Et tu as du mal à marcher normalement

Peut-être que tu glisses sous tes mensonges

Etre président ne va pas te protéger

Cours petit ! cour vers la bicyclette

Pour fuir le fruit damné du résultat de ta tache

Espèce d’incapable

Je suis le dernier poète rescapé

Quelqu’un dit construisez des écoles pour fermer les prisons

Mais vous avez videz la tête des enseignant à l’école

Tellement que personne ne les forme correctement

Et remplis la tête de haine les prisons

Les morts ne peuvent se défendre

Mais moi le vivant je vengerai leur mémoire

De l’odeur de votre puanteur d’amé

Vous vous mettrez à croire en un être supérieur

Peut-être dieu ou le diable

Mais vous lui demanderez de l’aide

Pour empêcher cette illumination de mon âme

Et les conséquences qui arrivent