Il vaut la peine d'imaginer l'archéologie à venir, car, si nous passons beaucoup de temps à scruter des cultures disparues, nous ne nous demandons guère de quoi notre culture aura l'air aux yeux des chercheurs de demain. Par exemple, une énorme quantité de nos communications se font maintenant en ligne. Pour la plupart, elles ne vont pas laisser de trace ou ne seront pas accessibles aux futurs archéologues. Que vont-ils en conclure sur notre taux d'alphabétisation ?