"Le christianisme naissant adopta un point de vue très original - c'est là qu'il peut être qualifié de révolutionnaire - en faisant du travail une nécessité, certes, mais une nécessité assumée et revendiquée comme partie intégrante de la destinée humaine. Pour les chrétiens, le travail n'est pas le lot des seuls esclaves, il est le propre de la condition humaine et peut-être aussi devient-il le ferment de la grandeur de l'homme." (p. 49)