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2.74/5 (sur 19 notes)

Nationalité : Canada
Né(e) le : 4/05/1929
Biographie :

Eric Wright est né dans une famille anglaise pauvre de dix enfants. Il a émigré au Canada en 1951. Il y a fait des études aux universités du Manitoba et de Toronto.
Il a ensuite enseigné l'anglais, jusqu'à la retraite à Ryerson Polytechnic University, Toronto (1958–89).
Il est l'auteur d'une vingtaine de romans policiers dont plusieurs ont été primés, et d'un livre de mémoires, Always Give a Penny to a Blind Man (1999).

Eric Wright, l'un des auteurs de fiction policière les plus honorés au Canada, a été quatre fois lauréat du prix Arthur-Ellis. En 1984, il a gagné le tout premier prix avec le premier de ses romans mettant en scène Charlie Salter, La Nuit de toutes les chances (The Night the Gods Smiled). Il a récidivé deux ans plus tard avec Une mort en Angleterre (Death in the Old Country). Il a également été deux fois lauréat dans la catégorie nouvelle, la première fois pour «À la recherche d'un homme honnête» (dans le recueil Cold Blood : Murder in Canada), et la seconde pour «Un tiens vaut mieux que deux tu l'auras.» Outre les toujours populaires aventures de Charlie Salter, qui sont traduites chez Alire, Eric Wright tient également la chronique des aventures d'une détective, Lucy Trimple Brenner, d'un autre policier de Toronto, Mel Pickett, etc.
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Source : http://en.wikipedia.org
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Citations et extraits (41) Voir plus Ajouter une citation
Il était toujours sidéré de voir que des personnes ayant apparemment un certain niveau d’éducation pouvaient non seulement boire une telle mixture, mais en plus appeler ça du café, alors qu’il est si facile de verser de l’eau sur du café moulu. Pour lui, mélanger de la poudre de café et de lait avec de l’eau ne se justifiait qu’au cours d’un siège.
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Beaucoup de personnes qui se préoccupent de justice sociale sont en colère, mais on en trouve parfois qui embrassent de justes causes sans sombrer, émotionnellement parlant. À mon avis, ces personnes savent qu’elles sont appelées à perdre leurs combats à long terme, mais elles les mènent quand même. Mon mari est de ceux-là. Il ne désespère jamais, parce que ses espérances sont limitées.
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Quand il se regardait dans le miroir sans ses lunettes de lecture, il se trouvait encore plutôt pas mal ; il était même capable d’occulter le fait que les collégiennes bien élevées, surtout les Noires, lui offraient maintenant à l’occasion leur place dans le métro. Bien sûr, il se disait que pour ces jeunettes, on est gâteux dès qu’on a plus de trente ans, de toute façon.
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Quand vous êtes en politique, vos amis organisent des événements en partie pour recueillir des fonds, et en partie pour vous faire connaître. Selon un principe bien établi, quand on serre assez de mains et qu’on embrasse assez de bébés, on est élu.
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Lors de son bref passage à l’université, il avait appris que toute activité humaine tirait son origine des parties intimes, l’anus y compris. Freud était l’oracle.
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David a inventé ça avec un ami un jour où ils parlaient de voyage.
Son ami considérait n'avoir jamais gaspillé un dollar dépensé en voyage,
et David pensait la même chose.
Mais il était toujours à la recherche d'une Bagdad.
Bagdad, c'était l'endroit, la ville mystérieuse - toujours une ville -
où tout était nouveau et inconnu,
un endroit où quelque chose d'intéressant pouvait vous arriver.
Paris était une Bagdad.
David y était allé plusieurs fois et il y était tellement excité que c'est tout juste s'il allait se coucher.
Il avait l'habitude de flâner pour rencontrer des gens,
tomber par hasard sur des endroits inattendus,
laisser les événements survenir.
New York était une Bagdad.
San Francisco aussi.
Certains endroits ont cessé d'être des Bagdad avant même qu'il ait trouvé le temps d'y aller.
C'était le cas de Dublin.
Il avait voulu s'y rendre pendant des années et, finalement, il n'y est jamais allé.
D'autres villes ont été des Bagdad la première fois, mais ni la deuxième ni la troisième fois.
Londres était l'une de celles-là.
Bref, Montréal avait été une Bagdad. Il se demandait s'il en restait quelque chose.
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Il voit des personnes qui ne sont pas là, même si je crois qu’il voit aussi celles qui sont là, mais il les mélange avec ses… fantômes. C’est dur de savoir comment réagir quand il se met brusquement à parler à une personne imaginaire.
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Accepte ce qui est naturel dans le vieillissement, et tâche d’oublier le reste.
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C’est en évitant de perdre du temps que l’on minimisera les dégâts.
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Lorsque nous recherchons un meurtrier, nous avons tendance à mettre de côté toute considération relative à la vie privée.
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