Les vagues…Depuis le sommet de la dune, elles me paraissent gigantesques, des rouleaux d’eau verte et grise plus hauts qu’un homme, qui enflent et se chargent d’écume avant de crever sur la plage. Le fracas du ressac m’emplit les oreilles, les embruns se mêlent à la pluie. Je frémis malgré moi. Mon coeur bat la chamade. Je m’emplis les yeux d’océan.