Fumier d’Américon ! (...)
Les Américains ne méritaient pas qu’on leur jetât de tels regards. D’ailleurs, ils n’avaient pas à se plaindre sur ce point ; hormis le bonhomme de la scierie, tout le monde leur faisait plaisant accueil. (...)
Ils buvaient à grands coups, insensibles à la qualité, si inférieurs en cela aux Français que le vice d’ivrognerie ne leur procurait même pas de plaisir.
L’argent leur coulait des doigts comme d’une source profonde. On les enviait un peu d’être si jeunes, si allègres et si bien pourvus.