Pepusch était d'un naturel exagérément sensible et porté à la mélancolie; il ne pouvait jouir de rien sans y déceler plus que de raison l'arrière-goût d'amertume laissé assurément par ce petit Styx aux eaux noires qui coule à travers toute notre vie; cela le rendait sombre, renfermé et souvent injuste envers ce qui l'entourait.