Sur nos photos de famille, Ofri a l’air moins à son avantage que dans la réalité. Comme Ayélet dit tout le temps : « On n’y peut rien si cette enfant n’est pas photogénique ! » Mais il ne s’agit pas de ça. C’est cette lueur, espiègle, qu’elle a dans le regard, et que l’appareil le plus perfectionné ne peut pas capter. C’est ce qui lui donne sa beauté singulière.