Le premier janvier suivant, le petit Valentin retenait ses larmes dans la chambre qu'avaient précédemment occupée Alix et Clarisse. Après avoir employé systématiquement toutes les ruses qu'il connaissait pour retarder l'heure de son coucher (redemandant du dessert, prétendant avoir soif, mal au ventre, se forçant à tousser, etc.) il avait fallu monter à contrecœur l'escalier détesté quand son père l'avait prié pour la troisième fois de " cesser sa comédie " et ordonné devant tout le monde d'arrêter ces " sensibleries ".