A cette époque, son véritable travail est tout indépendant et personnel. L’œil constamment braqué sur l’humanité environnante, il l’emmagasine, pour ainsi dire , dans d’énormes cartons pleins de croquis patiemment et régulièrement entassés. Détail par détail, il l’analyse et la dépouille, revenant sans repos ni trêve sur des objets en apparence différents qu’il tourne et retourne dans toutes les postures imaginables.