-Tu sais ce qui me fait bander ?
-…Moi ?
-Oui, toi, bien sûr. Mais là, à cet instant précis.
-Non Maître, je ne sais pas.
Je trouvais ça très excitant de le vouvoyer et de l’appeler « Maître » dans un lieu public, même si j’étais certaine que personne ne m’avait entendue.
-Je me dis que je pourrais relever ta robe jusqu’à ta taille, exhiber tes jolies fesses à tout le monde, et ce qui me fait vraiment bander, c’est de savoir que tu ne dirais rien, que tu te laisserais faire, honteuse, mais excitée.