Ces Anglais étaient des ordures. Et pas seulement ceux qui gagnaient leur vie sur leur dos. Les autres aussi, qui savaient ce qui se passait et qui ne faisaient rien pour l'arrêter. Ils voulaient que l'on prenne soin de leurs vieux, de leurs malades, qu'on nettoie leurs bureaux, leurs usines, mais jamais ils n'accepteraient de travailler dans des conditions pareilles. ( p 189 )