Je peux comprendre ceux qui sont tentés de baisser les bras tant chaque combat semble perdu d'avance... tellement ce monde est désespérant. Tel Sisyphe et son rocher, cette sensation que rien ne change, rien n'avance. Mais c'est faux, chaque combat est un pas en avant. Une minuscule victoire qui vaut toujours le coup. (p.138-39)