Les liquides toxiques récupérés sur les chantiers étaient stockés dans des camions-citernes destinés à l'essence immobilisés dans l'attente de la pluie, explique Ron Fino. Dès les premières gouttes, on ouvrait les robinets sous les citernes et les convois se mettaient en route. Direction l'autoroute la plus proche, sur laquelle étaient répandus les fluides dangereux.