J’ai dit que l’œil exercé est plus apte qu’un autre à voir les
phénomènes de la Lumière et de la Forme, mais qu’il lui faut encore d’autres instruments pour connaître la beauté du corps. Mais au-dessus de tous les instruments, il y a le cerveau de l’être humain qui, par sa faculté de comparer une harmonie à une autre, découvre leurs vrais rapports, et c’est de cette action du cerveau, unie à celle du cœur, que sortent de nouvelles magnificences.
L’œuvre révélera un nouvel ordre perçu des choses et sera belle par l’idée d’ensemble qu’elle dégagera.