Bien vieilli, mal vieilli…
Parfois, cela fait sourire en ravivant des souvenirs d’enfance, car cela nous a vraiment fait rire autrefois. Mais à mon avis, le texte seul, aujourd’hui, passe mal et ce qui domine, c’est l’étonnement qu’il ait pu connaître un tel succès. Cela tenait forcément à sa présence sur scène.
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Et voilà. J'ai 12 ans et je ris. Pour de vrai hein !
A lâge où je me passionne pour les amours torturées et les histoires aux dénouements dramatiques, par hasard, je tombe sur Fernand Raynaud.
Et moi qui avait décidé d'être une enfant grave, je ris.
Si ça ne peut suffire, je peux présenter le jeu du mot, l'intelligence de la pétillance (j'invente les mots que je veux) ou les mécanismes qui font du loufoque des petites perles mais je ris, et ça suffit. Ca me suffit.
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