[...] Ensuite viendront les médisants qui accuseront les parents d'avoir laissé leur enfant voyager seul, et qui traiteront les filles de garces et de putes. Bon sang, qui a donné la parole à ces gens-là ? Au moins, avant les réseaux sociaux, on n'était pas obligés de les entendre débiter toutes ces horreurs. Ils restaient au chaud dans leur pub de quartier ou leur salon pour cracher leur venin.