Bien qu'agaçante, cette Rosaline était utile, et il pouvait rentrer chez sa logeuse en étant certain qu'aucun indice n'avait été oublié sur la scène de crime. Il devait s'avouer que même si leurs échanges étaient peu dignes d'un lord et une jeune femme, ils étaient revigorants et apportaient une petite touche de piment à son séjour parisien. Puis il se rappela qu'il aimait l'ordre, la propreté, la monotonie et le calme de son laboratoire et regretta cette faiblesse dans ses sentiments.