Mes autres mots ne sortirent pas.
D'une main ferme, il me saisit le menton, m’interdisant tout mouvement, pendant que de l'autre, il me prenait la taille et m'attirait à lui. Il m'écrasait contre son torse, à la stupeur manifeste des villageois qu'il prenait visiblement plaisir à choquer, comme pour les punir d’être à l’affux de nouveaux ragots. Sans desserrer son étreinte, il se pencha et, les lèvres entrouvertes, il fouilla ma bouche dans un baiser passionné, insultant, et provocant.