Tout, ici-bas, semble courir vers sa propre dissipation, la Force se perd, les sons s’évanouissent, la vision du paysage s’estompe. Parce que tout aspire à retrouver et à revenir dans le chaos premier. Le papillon cherche tellement la lumière qu’il se détruit dans la flamme, et pareillement l’homme, qui attend toujours avec joie le nouveau printemps, puis l’été, et les mois nouveaux, et les années nouvelles, ne s’aperçoit pas que ce à quoi il aspire avec une telle intensité c’est sa propre mort.