Il fallait laisser à l’art sa liberté : la critique peut servir à celui qui est critiqué, pour prolonger sa vie, tandis que la répression fait des princes des ennemis du peuple et les contraint à se montrer de plus en plus cruels, au point de les rendre odieux, si bien que n’importe quel faux tribun pourrait en profiter pour pousser les masses à l’insurrection.