Née dans l’Oise où elle habite toujours, elle a exercé le métier d’infirmière en psychiatrie ce qui ne l’a pas empêché d’élever ses quatre enfants.
À la retraite depuis plusieurs années, elle a commencé à écrire un roman : "La Déferlante" (2016), puis sa suite : "Le Secret de Warcliffe" (2017).
Désormais elle se consacre à l'écriture de la saga "Les roses et les oranges", sur fond d'amour M/M, dont plusieurs volumes sont déjà parus.
En parallèle, pour se prouver qu'elle peut écrire autre chose que du M/M, Francine a publié en auto-publication "Grandis un peu" (2019) à la fois roman et chemin de vie. Il participe au concours "FA2019".
Peter n'aimait pas qu'on lui dictat sa conduite. Mais il s'agissait de sa femme bien-aimée et le terme "problème féminin" avait étouffé dans l'oeuf son désir d'aller contre le souhait de Rosa. Certaines choses ne regardaient pas un homme. Une pensée étrange traversa son esprit:
Est-ce que ce genre d'hommes, qui aiment leurs semblables, s'intéressent aux problèmes féminins?
-- Monsieur souhaite-t-il une table avec vue sur la mer?
Paul acquiesça. Mark retint un sourire. Quoiqu'il fasse, Paul était une "altesse" comme le qualifiait Michaël Steiger dans la correspondance qu'ils avaient entretenue. En Angleterre on se pliait en quatre pour satisfaire les caprices des gens "biens nés" comme il en eut bientôt la preuve.
Bien avant de devenir Premier peintre du roi, et de réaliser les décors de la galerie des Glaces à Versailles, Charles Le Brun fut élève de Simon Vouet. De quel tragédien fit-il le portrait en 1642 ?