À présent, je pourrais m'approcher d'elle, lui parler, lui avouer que j'aime bien ses géraniums et ses allées et venues dans l'appartement d'en face, je ne sais pas ce qui me retient.
Il faudrait qu'elle sache pourtant que, depuis quelques jours, je ne vis que pour elle, pour toutes ses conneries que je m'invente pour tenir jusqu'à demain, des histoires d'amour à distance, télécommandées, de ces choses par contumace qui n'arriveront jamais.