La plage du « bout du monde ». Au fur et à mesure qu’il se rapprochait de l’océan qu’il entendait gronder, la végétation se faisait plus rare et plus chétive. Quelques pins intrépides, qui avaient tenté de braver les embruns, s’agrippaient tant bien que mal à la dune. Tous seraient avalés par les tempêtes de novembre.