Je sais que la jeunesse ne dure pas, quelques mois, quelques années qui passent très vite, on n'y pense pas, on n'a pas le temps, et puis viennent les métamorphoses. Peut-être que je penserai à tout cela dans très longtemps et que je comprendrai plus fort encore que j'avais raison de le rouler dans le sable, ce corps d'enfant.