Les lendemains qui chantent, c'est au mères qu'on les doit. Leur amour si humble, qui se croit impuissant ou du moins incapable de changer le cours des événements, c'est ce souffle chargé de tant d'heures de patience, de larmes et de sourires, qui pousse la frêle embarcation vers la terre promise et rend la traversée possible. p.11