Nous avons eu un immense plaisir à voir cette histoire se réinventer, lentement d'abord, puis à un rythme très soutenu. Aujourd’hui, nous avons le bonheur de voir La fièvre d’Urbicande prendre une nouvelle dimension, comme si le récit avait attendu près de quarante ans de trouver son visage définitif.
Benoît Peeters, Les couleurs d’Urbicande, p. 99